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Enfin et surtout, pour justifier la propagation rectiligne de la
lumière, il a d'abord été supposé que tous les
chemins sont a priori possibles et que le nombre de ces chemins a
la puissance du continu. Il s'agit donc alors d'intégrales,
mais dont le nombre de variables d'intégration a cette
puissance du continu. La définition précise de ce type
d'intégrale, dite intégrale de Feynman, pose
problème. Leur normalisation doit exprimer celle de la
probabilité.
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